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l'écrit anonyme

4 décembre 2007

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Comment peut-on dire qu'un mal de tête soit la cause d'un refus de discuter? Pire, le mal de tête peut-il expliquer des mots blessants? Ce sont là des réalités pourtant. Le couteau y est déjà... ça n'a fait que le remuer dans la plaie.


Peut-être que je ne vois là que des excuses pour m'en éloigner chaque fois un petit peu plus. Peut-être que je ne devrais pas le prendre si mal. Par contre, ce qui est sûr c'est qu'eux le prendront mal si jamais ils apprenent ce que je pense d'eux et de leurs habitudes.


On a déjà eu une grosse dispute en se parlant franchement... sans mâcher ses mots. Je n'en garde que de très mauvais souvenirs et un mépris particulier pour une personne.    


C'est souvent de cette façon que se terminent les disputes. On en tire rien de bon. Une conversation calme et réfléchie serait la solution mais la réalité est bien différente !

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4 décembre 2007

Les gens

Pourquoi leur raconter ma vie? Pourquoi se fatiguer à leur expliquer mes choix? Ils n'écoutent pas. Il se contentent de parler d'eux, de ce qui les préoccupe, ce qui les rend tristes ou joyeux. Les gens n'écoutent pas. Du moins pas réelement. Ils écoutent distraitement.


Mes conversations ne doivent se résumer qu'à des sujets passe-partout c'est-à-dire des sujets qui n'ont aucun lien avec leur vie privée ni la mienne. Bien sûr je peux leur parler de leurs vies ! Ce n'est pas un problème, au contraire ! Ils aiment tant parler d'eux et de leurs dernières aventures. Mais moi ça ne me plait plus. J'en ai assez. J'en suis complétement désinterressé. Ce n'est pas l'envie qui me manque de leur dire d'arrêter de me raconter de pareilles conneries. J'en suis même arrivé jusqu'à l'écoeurement.


Je suis une fois de plus tout ettonné d'entendre des gens affirmer qu'ils aiment la simplicité alors qu'ils sastisfont leurs désirs les plus honteux... je n'ai bien entendu rien à leur dire, ce ne sont pas mes affaires. Ce n'est pas ma vie ! Mais tout de même, comment peuvent-ils aimer la simplicité. Mon écoeurement en est doublé.

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l'écrit anonyme
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